Chez les éleveur.ses de ruminants, le travail est de plus en plus questionné, et ce dans ses différentes dimensions : quantité bien sûr, mais également nature, pénibilité, organisation, répartition-délégation, mais aussi sens du travail.
La viabilité d’un système d’exploitation est bien entendu fondamentale, mais dans un contexte de préservation des ressources naturelles, de transition agroécologique et… de bien-être pour ceux et celles qui y travaillent.
Dans un contexte de transition agroécologie et d’évolution de système, au-delà de la transition technique, prendre de soin de son travail est essentiel pour construire “sa” durabilité sociale.
Le projet de recherche-action Transaé (Transformations du travail et transition vers l’agroécologie, 2016-2020) a récement exploré la question du travail et de la transition. Une transition, envisagée comme une transformation du travail, c’est à dire un changement profond des façons de le faire et de le penser… qu’il s’agit d’accompagner.
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